Le 22 mai 2015 le match de championnat de National (3e Division) 2014-2015 comptant pour la 34e journée : RC Strasbourg – US Colomiers (2-0) à la Meinau est suivi par 27 820 spectateurs constituant ainsi le record d’affluence pour un match de cette division. Au total, il inscrit 18 buts en championnat et décroche le titre de meilleur buteur du championnat pour la première fois de sa carrière. Payant désormais fort cher les droits de retransmission des rencontres, certains diffuseurs deviennent exigeants en matière de calendrier notamment pour l’étalement des journées de championnat pour permettre la diffusion de plusieurs rencontres. Malgré cette volonté et l’arsenal juridique qui l’accompagne, le problème perdure en Angleterre en marge des rencontres et dans les divisions inférieures. Après avoir testé la bunkérisation des stades avec la mise en place de grillages et autres herses pour canaliser la foule, les autorités préfèrent aujourd’hui traiter le problème en amont en interdisant de stade les supporters violents permettant l’abandon d’une attitude défensive et très agressive, encore de rigueur dans de nombreuses nations, qui donnent à certains stades l’apparence de zones de guerre. Il faut attendre l’entre-deux-guerres pour assister à l’apparition d’une presse spécialisée. Parmi les grands titres de la presse omnisports quotidienne, citons A Bola, O Jogo et Record au Portugal, La Gazzetta dello Sport, Tuttosport et Corriere dello Sport – Stadio en Italie, Marca et As en Espagne, Olé en Argentine et L’Équipe en France.
Une presse sportive moins guindée voit le jour à l’extrême fin du siècle, et ces titres accordent une large place au football. Certains titres refusent toutefois de traiter de ce sport aux racines trop populaires ; The Field (créé en 1853) qui traite principalement de sports « nobles » comme le tennis, le golf, le sport hippique et la chasse n’ouvre ainsi ses colonnes au football que pour le dénigrer. Mais le football devient également un enjeu majeur en matière de concurrence. La presse écrite joue un rôle majeur dans la médiatisation du jeu, mais également dans l’organisation de compétitions, notamment en France. Excepté ces deux transferts, l’effectif reste presque inchangé comme le souligne le portier Nicolas Penneteau en conférence de presse « Le groupe est quasiment le même que l’année dernière, il est cohérent. Le football entre dans la presse généraliste puis la presse omnisports dès le XIXe siècle. Article détaillé : Football et télévision. Les relations entre le football et la télévision restent longtemps conflictuelles. France football lui succède après la Libération. 1984 Patrice Garande France Vainqueur ?
Le tour suivant voit cette fois l’ensemble du trio de tête s’imposer, le Zénith et le Lokomotiv Moscou remportant de larges victoires contre les relégables du Rotor Volgograd (6-0) et du FK Tambov (5-2) tandis que le Spartak sort vainqueur du derby face au CSKA (1-0). Juste derrière, dans la lutte pour la dernière place européenne, le Rubin Kazan et le Dynamo Moscou s’inclinent face à Krasnodar (0-1) et Khimki (0-1) alors que Sotchi s’impose sur la pelouse d’Oufa (3-2). Quatre équipes se retrouvent ainsi à 46 points, à quatre unités du podium, le Rubin occupant la quatrième position au regard des autres critères de classement. Face à Boulogne pour la dixième journée, le Racing conforte sa place sur le podium. Jean-Paul Rabier, ancien entraîneur de La Roche Vendée Football, prend la place dès le mois de mars mais ne peut sauver le club d’une chute en National 1, le 3e échelon national.
Depuis la création du mouvement des Torcida au Brésil dans les années 1940, certains groupes de supporters deviennent indépendants du club et prétendent même mériter des subventions de sa part. Dès la fin du XIXe siècle, de tels groupes existent déjà au Royaume-Uni. En Coupe d’Espagne, il est sévèrement battu dès les 1/16e de finales par le modeste club de 3e division Alcorcón et en Ligue des champions, il est éliminé pour la sixième année consécutive en 1/8e de finales par l’Olympique lyonnais. Après une belle entame de match et un superbe but d’Alexy Bosetti dès la 11e minute, le Gym sombre, pas aidé par les décisions arbitrales très contestables de Stéphane Lannoy (un pénalty refusé, un pénalty généreux accordé à Bordeaux, et deux buts refusés à tort), et s’incline finalement sur le score de 1-3 et glisse à la 9e place. La finale a lieu le dimanche 13 mai 2012 au stade Jacques-Rimbault à Bourges, et voit la victoire de l’Olympique lyonnais sur le Montpellier HSC sur le score de deux buts à un. L’Olympique lyonnais se déplace au Stade de France à Saint-Denis pour y disputer la finale contre les Girondins de Bordeaux. 32e de finale 9 janvier 2010 Olympique lyonnais Ligue 1 dom.